
Plus d’une décennie après sa disparition, Michael Jackson demeure une icône incontestée de la musique mondiale. Pourtant, les circonstances de sa mort restent marquées par une sombre réalité.Selon The New York Times, le décès de la star a été officiellement qualifié d’homicide. Deux autopsies ont été pratiquées après sa mort : l’une commandée par le coroner du comté de Los Angeles, l’autre à la demande de sa famille (The Columbus Dispatch).
L’autopsie principale a révélé que Michael Jackson est décédé des suites d’une intoxication aiguë au Propofol, un puissant anesthésique qui a entraîné un arrêt cardiaque, rapporte NPR.
Bien que les autorités aient demandé la confidentialité du rapport toxicologique complet, les résultats ont indiqué la présence de plusieurs autres substances : Lorazepam, Midazolam, Diazépam, Lidocaïne et Éphédrine (Reuters).Le Dr Conrad Murray, médecin personnel de Jackson, a été reconnu coupable d’homicide involontaire pour lui avoir administré la dose fatale.
Le tribunal a estimé que son comportement relevait d’une négligence criminelle grave.


